Klaus Jab & Kill Bates ont frappé, et c’est excellent, du brut, du lourd pas raffiné, percutant et rondement mené, à l’instar de la déferlante de vagues psychotiques issues du cerveau malade de l’inquiétant Gouverneur de la planète Terre qui rythment maintenant notre quotidien. Sinon, c’est pas trop un truc à visionner en famille.
Je perçois maintenant que le véritable charme de la vie intellectuelle – la vie consacrée à l’érudition, à la recherche scientifique, à la philosophie, à l’esthétique, à la critique – est sa facilité. C’est la substitution de schémas intellectuels simples aux complexités de la réalité ; de la mort immobile et formelle aux mouvements déconcertants
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